J'ai visiblement légèrement contourné la consigne, mais j'ai quand même pris des angles différents.
Et des approches photoshoppiennes différentes. (Oui, j'ai toujours aimé inventer des mots, tu savais pas?)
Et sinon, oui, je voulais des livres...
D'dou aime parce que 'ça fait Broadway'. C'est pour toi, D'dou. |
J'aime parce que 'ça fait 'Ma Sorcière Bien-Aimée''. Cherche pas, c'est comme ça. |
Tu as vidé ta bibliothèque?????
RépondreSupprimerTu vas lire Français?????
Laissez parler les p'tits papiers......
J'aime bien Broadway !!!!
Ca fait feerique
Dormir sur un livre ouvert ...rève de chat :)))
Pyramide Broadwaytesque
RépondreSupprimerdélirante de couleurs néonesques,
le détournement est réussie :-).
J'aime aussi.
Tranches de livres comme autant de destins,
de "the love verb" conjugué à l'infini.
@ Plumedechat: J'ai pas vidé ma bibliothèque, mais plutôt celle de la boutique de livres anglais d'Antibes (et mon compte en banque!).
RépondreSupprimerLe livre que je viens de finir était en français: 'L'étrange voyage de Mr Daldry' de Marc Lévy. Alors, on fait moins le miaou maintenant, hein? ;-)
@ Garance: belles reconversions de mots ;-)
RépondreSupprimerTranches de livres et tranches de vies, 'the love verb' est celui que je viens de commencer, et ça commence bien. Plus ludique que 'L'Alchimiste'!
Yes, surement :-) !!
RépondreSupprimerMon dernier livre lu "Rosa candida" d'Audur Ava Olafsdottir (islandaise)! un premier roman charmant plein de délicatesse et d'authenticité.
Bonne lecture pour "the love verb"!
Tu l'as lu en quelle langue? ça parle de quoi?
RépondreSupprimerLe jeune Arnljótur va quitter la maison, son frère jumeau autiste, son vieux père octogénaire, et les paysages crépusculaires de laves couvertes de lichens.Sa mère a eu un accident de voiture. Mourante dans le tas de ferraille, elle a trouvé la force de téléphoner aux siens et de donner quelques tranquilles recommandations à son fils qui aura écouté sans s’en rendre compte les dernières paroles d’une mère adorée. Un lien les unissait : le jardin et la serre où elle cultivait une variété rare de Rosa candida à huit pétales. C’est là qu’Arnljótur aura aimé Anna, une amie d’un ami, un petit bout de nuit, et l’aura mise innocemment enceinte.En route pour une ancienne roseraie du continent, avec dans ses bagages deux ou trois boutures de Rosa candida, Arnljótur part sans le savoir à la rencontre d’Anna et de sa petite fille, là-bas, dans un autre éden, oublié du monde et gardé par un moine cinéphile.
RépondreSupprimerJe l'ai lu en français.
Voila tu sais tout ;-)
@GARANCE (hors sujet)
RépondreSupprimerJe trouve ton écriture magnifique
Le résumé lu ...on a envie de courir acheter le livre
Je vais peut étre me coucher dessus en ronronnant
Merci
@AJB...Ne fait pas MIAOU qui veut na !!!
ça donne envie de le lire, Garance.
RépondreSupprimer@ Plumedechat: Miaou miaou miaou!(Bonne nuit, quoi!)
@ Plumedechat
RépondreSupprimerMerci pour ce beau compliment mais je n'ai fait qu'un condensé de la quatrième de couv.
L'auteure a une écriture magnifique, âpre et sensuelle à la fois, et ses mots m'ont entrainée dans les profondeurs de mon âme, sensible à la musicalité des mots, à la beauté du monde. C'est tout en finesse et délicieusement jouissif.